Promenade au CENTQUATRE – Paris – 9 Aout 2009

Rencontre des usagers et des artistes du CENTQUATRE

9. août 2009, de 15 heures à  20 heures,

Pour fêter son dernier jour d’ouverture au public avant les vacances, les 2 directeurs du CENTQUATRE, Robert CANTARELLA & Frédéric FISBACH, invitent à des départs réguliers de « promenades » dans le CENTQUATRE ou le quartier, qui peuvent durer de trois minutes à deux heures.

atelier le balto, comme d’autres artistes (paysagistes mais aussi comédiens, plasticiens, réalisateurs, auteurs, ou techniciens), proposeront leur propre légende du CENTQUATRE, feront découvrir leur endroit préféré, aller y lire un texte, ou encore raconter des histoires vécues, anecdotes, faire rencontrer des voisins, etc.

Les farines
Les farines

Il ne s’agit pas d’un spectacle mais plutôt d’improvisations et d’une manière originale et ludique de rencontrer des artistes, de découvrir leur parcours ou de mieux comprendre la particularité du CENTQUATRE.

Vous pourrez nous retrouver au jardin, dans la halle Curial : A TABLE !

CENTQUATRE
104 rue d’Aubervilliers/5 rue Curial
75019 Paris
www.104.fr

3. Preis

Park des Archivars – Ausstellung

atelier le balto mit Kai Schiemenz

7. Juli 2009: Eröffnung der Ausstellung über das Wettbewerbergebnis
Ort: Cranzbau, Fasanenstraße 87, 10623 Berlin
Dauer der Ausstellung: 7.07.09 bis 17.07.09

Im Rahmen des interdisziplinären Realisierungswettbewerbs für Künstler und
Landschaftsarchitekten für das BUNDESARCHIV in Berlin
1. Phase: Freitag, 16.01.2009
2. Phase: Mittwoch, 29.04.2009

Mit Laurent Dugua und Chloé Sanson
Mit Laurent Dugua und Chloé Sanson

Aus dem Juryprotokoll:

PARK DES ARCHIVARS
Diese Arbeit wurde besonders intensiv und kontrovers von der Jury diskutiert. Der kooperative, prozessuale Ansatz des Entwurfes wird umfassend gewürdigt, stellt aber zugleich für den Nutzer eine Herausforderung sowohl hinsichtlich der Logistik als auch der Ästhetik des Ortes dar.
Immer wieder stellt sich in der Diskussion die Frage nach der künstlerischen Form. Auch unter der Maßgabe, dass es sich um einen künstlerisch– gärtnerischen Ansatz handelt, der die Skepsis gegenüber der scheinbar genialen Setzungen eines einzelnen Autors zum Ausdruck bringt, stellt sich ohne Zweifel die Frage nach der Vermittelbarkeit und Lesbarkeit.

Die geneigte Bodenplatte benutzt das Motiv der Instabilität und Balance, die durchaus analog zur immer wieder notwendigen Neuinterpretation bestehender Fakten im Rahmen wissenschaftlichen Arbeitens im Archiv gelesen werden kann.
Positiv wird der gewählte Zeithorizont gesehen, der dem Entwurfscharakter künstlerischer und wissenschaftlicher Arbeit unter dem Stichwort „das Archiv braucht den Autor“ Platz einräumt.
Die Gestalt der Bodenplatte aus schwarzem Asphalt und dem mäandrierenden Band aus Beeten hat den Charakter eines abstrakten, grafischen Musters, das von der Hauptschauseite aus langsam ansteigt.
Welche tatsächliche Ästhetik die Bepflanzung innerhalb der verschiedenen Spielzeiten entwickeln wird, bleibt manchem Preisrichter zu offen.
Das Projekt fordert den Auftraggeber gewissermaßen heraus, sich auf einen zeitbasierten, prozessualen und sozialen Ansatz einzulassen und erweitert so den Ansatz einer „Kunst am Bau“ zu einer „Kunst mit dem Ort“.

Métis – International garden festival – Jusqu’au 4 october 09

Bois de biais

Le 27 juin 2009, atelier le balto participe à l’inauguration de la 10eme édition du festival international de jardins de Métis, en Gaspésie / Québec, avec le Bois de Biais. Ce jardin fut créé pour l’édition de 2006.
Basé essentiellement sur une plantation de peupliers et de saules, nous avons pu modifier ses volumes et ses espaces par deux tailles importantes, l’une réalisée en automne 2006 (un biais dans le volume), l’autre au printemps 2009 (retrouver des transparences et le rapport au paysage situé en arrière plan).

L’histoire :
Les jardiniers sont arrivés à Métis en hiver 2005/2006. Parce qu’ils se mêlent de ce qui ne les regarde pas, parce qu’ils souhaitent donner à voir autrement , ils ont shooté dans la parcelle. Ils l’ont un peu poussée, un peu décalée… Puis ils l’ont plantée, densément. Dans cette densité, ils ont créé des chemins et des espaces à parcourir.

Le bois de biais en 2009
Suivez le chemin

Le filtre :
La parcelle qui nous a été imposée est plantée de saules alignés. Les lignes sont redoublées par des planches qui permettent de traverser de la parcelle dans sa longueur.
Une des lignes de saules est longée par une sente de sable. Elle mène au bois de peupliers.

Le bois :
Celui-ci a été planté sur la parcelle décalée. La peupleraie se mêle donc aux bouleaux puis se confronte à la foret qui borde la parcelle. La peupleraie est anormalement dense et jardinée : plantée, taillée, émondée… Elle offre un parcours au visiteur qui le fait passer dehors, dedans, à la lisière, dans le champs, dans la foret… Où est le jardin ?

La sente et la clairière :
La sente permet de circuler à la lisière du bois, entre peupliers et saules, puis dans le bois. Toujours rectiligne, elle fait des angles droits dans l’ombrage des arbres. Au milieu, elle s’écarte pour faire place à une clairière où il fait bon s’asseoir.
Le bois de biais soulèvent des questions : Où est le territoire ? Où est la parcelle ? Où est la forêt ? Où est le jardin ? La taille de la sente et la densité inhabituelle des plantations bouleversent les idées reçues.

Durée du festival : 27 juin au 4 octobre 2009

www.jardinsmetis.com

Landschaftsarchitektur, bureau de paysage, Berlin